Benoit — L'œil de l’aigle
D’une curiosité insatiable, pragmatique et autonome, Benoit Stefanini s’acclimate rapidement aux milieux dans lesquels il évolue.
À peine quelques jours en poste, il s'affairait à accélérer la transformation numérique de Copibec en contribuant au déploiement des solutions logiciel à l'interne, à l’automatisation d’un système de soutien technique, à l'implantation d’un bureau virtuel et de plateformes de gestion documentaire plus performantes.
Autodidacte, notre agent en technologie de l'information aime apprendre pour apprendre.
Passionné par la nouveauté, les composants dernier cri et les technologies de pointe, ce qui le stimule c’est tester, se pousser et se dépasser.
Détermination à toute épreuve
Avec un nouveau jouet entre les mains, il peut rester une dizaine d’heures d’affilé rivé sur son objectif : comprendre comment ça marche. Se fermant à toute distraction extérieure, comme s’il portait des œillères, s’arrêtant à peine pour manger et ne consultant plus sa messagerie, il disparait presque complètement, entièrement absorbé par la tâche.
Cette capacité à rester concentré durant de longues périodes est une disposition à double tranchant. Il lui arrive d’investir temps et énergie sur des projets qui n’aboutissent pas. Un risque à prendre pour découvrir des solutions innovantes.
Qu'est-ce qui lui a donné la piqûre de la techno ?
À l’adolescence, il a commencé à s’intéresser au fonctionnement de son propre ordinateur, à le démonter et tenter de comprendre les modifications qu’il pouvait y apporter. Ça lui a donné l’envie d'acquérir cette capacité de dire le plus souvent possible « je l'ai fait moi-même ».
De l’antiquité au futur
Benoit est un mordu d'histoire, tout spécialement de l’antiquité et médiévale. Entre deux projets informatiques, il enchaine les reportages et documentaires sur de grandes nations qui ont marqué leurs temps, et cherche à décrypter l’impact des événements passés sur les relations contemporaines entre tels et tels pays.
Une vision à long terme ? Confiant en ses capacités de gestion de grands projets, il se voit bien cadre dans une compagnie technologique, siéger aux premières loges de l’innovation, participer au développement du futur et servir de passerelle entre le Canada, l'Europe et la Silicone Valley.
Parlant de futur, Benoit s'intéresse aussi à l'astronomie, au voyage dans l’espace et rêve de démonter un astronef, se demandant : « Comment ça opère au juste ce truc-là ? »