Revue de presse
Vous préparez et distribuez une revue de presse ? Vous en recevez une d’une firme spécialisée ? Cette revue de presse peut être papier ou numérique.
En voici quelques exemples :
- Je dépose une revue de presse hebdomadaire sur le réseau interne de mon entreprise
- Je transmets gratuitement une revue de presse spécialisée aux membres de notre association
- Je reçois et partage une revue de presse reçue d’une entreprise de veille médiatique
- Je joins une courte revue de presse aux dossiers transmis aux agences de casting
- Je souhaite autoriser mes clients à diffuser à l’interne les extraits de presse que je leur transmets
Si votre revue de presse provient d’une firme spécialisée, assurez-vous que celle-ci acquitte des droits d’auteur. Plusieurs de ces entreprises ont des ententes avec Copibec. Recherchez le nom du fournisseur de votre revue de presse dans la liste de nos utilisateurs.
Hyperliens : attention !
Le fait de transmettre une liste d’hyperliens menant aux extraits de presse présents sur le site de différents journaux ne dispense pas l’obligation d’obtenir des autorisations.
De façon générale, les avis présents sur les sites des différents journaux et revues doivent être pris en compte pour déterminer ce qui est permis et ce qui ne l’est pas. Plusieurs éditeurs interdisent l’utilisation de leur site, la reproduction de leur contenu ou l’insertion d’hyperliens à des fins commerciales.
Nos solutions s’adaptent à vos besoins
Besoins limités
Obtenez les droits pour les articles dont vous avez besoin au moment où vous en avez besoin. Si vous reproduisez ou partagez des extraits de documents protégés de façon ponctuelle, cette solution est pour vous. Les frais sont calculés en fonction de l’utilisation et facturés immédiatement.
Besoins constants
Copibec offre la licence de confection et de distribution de revues de presse aux entreprises spécialisées en la matière, à leurs clients, ainsi qu’à toute autre entreprise, organisation publique, privée ou gouvernementale. Une licence globale vous évite d’avoir à libérer les droits à la pièce.